Après la tisane, une courte introduction et deux chants (Par les cieux devant toi, puis Laudato si), l’essentiel de la réunion a été consacré à un échange, par groupes de cinq, sur le chapitre 3 de l’encyclique : « La racine humaine de la crise écologique ».
Les questions posées ont été les suivantes (les § renvoient à des paragraphes de l’encyclique) :
1 : Les bienfaits de la technologie (§ 102 et 103) : Sommes-nous d’accord pour dire que la technologie (c’est à dire la science mise en application) a beaucoup apporté aux humains ? Quels apports principalement ?
2 : Limites de la technologie, fausse idée d’une disponibilité infinie de biens (§ 105-109) : Dans quels domaines percevons-nous que les biens sont limités ? (transports et déplacements ; eau ; nourriture ; produits de la mer ; etc.). Est-ce le résultat de notre consommation ? De l’accroissement de la population mondiale ? Les progrès techniques n’ont-ils pas des conséquences néfastes ? (réchauffement climatique ; produits chimiques ; communication réduite entre les personnes ; etc.).
3 : Une vie digne par le travail (§ 124 à 129) : Par le travail, les humains participent à l’œuvre créatrice de Dieu. En avons-nous le sentiment en observant l’évolution du travail chez nous (par exemple : nouvelles modalités de travail à la chaîne avec les livreurs, le e-commerce, les emplois des supermarchés, la montée du chômage, …) ? Quelles évolutions devrions-nous favoriser ? Comment ?
La réunion s’est conclue par une prière d’offrande au Seigneur de notre journée de travail.
La préparation de ce mercredi avait été assurée par la PCFF des Bas Coudrais.
Prochaine réunion : mercredi 3 février à 20h30 (préparation : groupe des lecteurs)