En janvier, quelques échos de célébrations
Fidèle à l’eucharistie dominicale de 10h30, je constate que celle-ci ressemble de plus en plus à une réunion de famille prête à prendre place autour d’une grande table.
D’abord, il y a un accueil, à gauche en entrant. Des paroissiens n’hésitent plus aussi à se déplacer pour aller serrer la main d’autres paroissiens, prendre de leurs nouvelles, s’inquiéter si une personne fidèle à 10h30 n’est pas là (Une fois, des paroissiens m’ont appelée, étonnés de ne pas me voir !).
En janvier, il y a eu la messe du 1er : peu de monde mais échange de vœux chaleureux.
Le 11, messe avec la participation des parents d’enfants baptisés en 2008 au sein de la paroisse. Au cours de cette eucharistie, il y a eu le baptême de Melhior. Les paroissiens ont été sensibles aux témoignages et à l’engagement des parents, du parrain et de la marraine du nouveau baptisé ; sensibles aussi au geste, à la sortie, de la remise du sachet de dragées.
Le 18, messe des familles, avec comme d’habitude à cette occasion, la participation très active des enfants du catéchisme, donnant lieu à une célébration bien préparée, vivante et animée. Tout le mérite en revient aux catéchistes et au père William. Quel beau travail de transmettre aux enfants les valeurs de l’Eglise et de la foi. Merci à toutes celles et tous ceux qui se donnent tant !
Dimanche 25, messe « Inter-Peuples », préparée par les trois PCFF (Petite Communauté Fraternelle de Foi). Des membres ont ouvert la célébration, après l’explication du père William, en apportant une barque « nous partons plus loin pour trouver une vie meilleure », un bâton « pour partir en mission », de l’eau « nous sommes appelés la source de la vie ». Les quatre coins de l’horizon étaient visibles par les couleurs chatoyantes des robes africaines. Belle chorale. 1ère lecture et prières universelles en français et en langues étrangères. Nous nous sommes quittés en chantant : « Prends ta barque » !
J’espère que chacun (e) saura la mener, tout au long de cette année, sur d’autres rives.
Annick Imbert